Les jardins privés de Venise (en orange sur notre carte) dépendent des palais, des couvents et parfois d’habitats plus modestes. Ils sont donc privés et ne se visitent pas. Ils sont nombreux, très nombreux, malheureusement souvent situés à l’arrière des palais ou des couvents et cernés de hauts murs. A tel point, qu’on passe devant sans apercevoir la moindre feuille, ni même imaginer l’étendue et la beauté de certains d’entre eux.
Nous nous réjouissons de vous présenter ici quelques photos de ces trésors cachés de Venise.
Voir présentation détaillée de certains jardins
💙 Voir aussi les jardins publics de Venise 💙
Les jardins privés des palais de Venise
Les jardins privés des couvents de Venise
Les petits jardins privés d’habitat ordinaire
Les habitations plus ordinaires que les palais ou les couvents possèdent parfois de petits jardins. Bien plus modestes, ils ne manquent pas de réjouir le coeur des habitants. Parfois, ce sont les habitants eux-mêmes qui gèrent leur jardin, taillent les haies, les rosiers, les glycines, tondent le gazon ou fleurissent les parterres. Mais parfois, ils font appel à des sociétés de jardinage pour cet entretien.
Dans certains de ces jardins, trône parfois une vieille margelle de puits.
Mais ces jardins sont privés et vous ne devez pas vous y introduire. En effet, les habitants ont besoin de leur intimité, comme vous dans votre maison. Nous leur devons le respect.
D’autres jardins, pour le plaisir
LES JARDINS PUBLICS ET PRIVES DE VENISE
– Les jardins publics de Venise
Les Giardini et les jardins de la Biennale
Sant’ Elena
Giardini Reali
Giardini della Marinaressa
Papadopoli
Savorgnan
Groggia vers Sant’Alvise
– Les jardins privés de Venise
Palazzetto Bru-Zane
Palais Sorenzo-Cappello
Ca’ Zenobio
Jardins de la Giudecca Villa Hériot, Jardin d’Eden
Vignes du couvent de San Michele
Autres informations de nos partenaires
Wikipédia - Vérifiez les mises à jour
Tripadvisor - Avis pas toujours vérifiés
Google maps - Pratique pour les temps de parcours
Site officiel de la Ville
Site officiel du tourisme
Jean-Marc Foulquier